Président de la FIMASUCRE
La Fédération Interprofessionnelle Marocaine du Sucre (FIMASUCRE), créée en juin 2007, regroupe l’Union Nationale des Associations des Producteurs des Plantes Sucrières du Maroc (UNAPPSM), représentant les associations régionales des agriculteurs de betterave et de canne à sucre des cinq périmètres sucriers, ainsi que l’Association Professionnelle Sucrière (APS), qui représente les sociétés sucrières. Elle a pour objectif de fournir un cadre de concertation et de coordination entre les différents partenaires de la filière, tout en renforçant l’intégration entre l’amont agricole et l’aval industriel, afin de consolider la compétitivité et la résilience de la filière sucrière.
Union Nationale des Associations des Producteurs des Plantes Sucrières du Maroc (UNAPPSM)
• Association des Producteurs des Plantes Sucrières du Gharb (APPSG);
• Association des Producteurs des Plantes Sucrières du Loukkos (APPSL);
• Association des Producteurs des Plantes Sucrières de Nador (APPSN);
• Association des Producteurs des Plantes de Berkane (APPSB);
• Association des Producteurs Betteraviers des Doukkala-Abda (APBDA);
• Association des Betteraviers du Tadla (ABT);
Association Professionnelle Sucrière (ADS)
• COSUMAR S.A;
• SUCRERIE DES DOUKKALA;
• SUNABEL;
• SUTA;
• SURAC;
• SUCRERIE DE ZAIO;
Le contrat programme 2021-2030 pour la filière sucrière s’inscrit dans la continuité des efforts visant à moderniser et renforcer cette filière stratégique au Maroc. Ce partenariat entre l’État, les acteurs professionnels et le secteur financier a pour ambition de consolider la compétitivité et la durabilité de la production sucrière à l’horizon 2030.
Le contrat programme pour la filière sucrière engage le Gouvernement, représenté par les Ministères de l’Économie et des Finances, de l’Agriculture, de l’Industrie et du Commerce, ainsi que le Groupe Crédit Agricole du Maroc et la Fédération Interprofessionnelle Marocaine du Sucre (FIMASUCRE).
Coût d’investissement : 5,74 milliards DH
•Etat : 3,11 milliards DH
•FIMASUCRE : 2,63 milliards DH
• Superficie cultivée : Passer de 64 544 ha en 2020 à 73 000 ha en 2030.
• Production de sucre : Augmenter de 559 000 tonnes à 620 000 tonnes.
• Taux de couverture : Atteindre 50% (contre 47% en 2020).
• Valorisation :
•Capacité de traitement de la betterave à sucre : 4,7 millions de tonnes/an.
•Capacité de raffinage : 1,5 million de tonnes/an.
• Innovation et R&D : Doubler le nombre de centres de R&D de 2 à 4.
• Agriculture résiliente : Équiper 73 000 ha en goutte-à-goutte et créer 5 stations de traitement des eaux.
•Promotion de l’agrégation agricole conformément à la loi 04-12.
•Amélioration des rendements en sucre pour atteindre 11 tonnes/ha pour la betterave et 10 tonnes/ha pour la canne.
•Développement des exportations à 750 000 tonnes.
•Promotion de l’agriculture biologique et des énergies renouvelables, avec 20% des cultures en bio et 2 nouvelles stations d’épuration.
•Maintien des subventions pour les semences, nouvelles plantations, et matériel agricole spécifique.
•Soutien aux projets de reconversion en agriculture biologique et en goutte-à-goutte.
Le contrat programme pour la filière sucrière engage le Gouvernement, représenté par les Ministères de l’Économie et des Finances, de l’Agriculture, de l’Industrie et du Commerce, ainsi que le Groupe Crédit Agricole du Maroc et la Fédération Interprofessionnelle Marocaine du Sucre (FIMASUCRE).
Coût d’investissement : 5,74 milliards DH
•Etat : 3,11 milliards DH
•FIMASUCRE : 2,63 milliards DH
• Superficie cultivée : Passer de 64 544 ha en 2020 à 73 000 ha en 2030.
• Production de sucre : Augmenter de 559 000 tonnes à 620 000 tonnes.
• Taux de couverture : Atteindre 50% (contre 47% en 2020).
• Valorisation :
•Capacité de traitement de la betterave à sucre : 4,7 millions de tonnes/an.
•Capacité de raffinage : 1,5 million de tonnes/an.
• Innovation et R&D : Doubler le nombre de centres de R&D de 2 à 4.
• Agriculture résiliente : Équiper 73 000 ha en goutte-à-goutte et créer 5 stations de traitement des eaux.
•Promotion de l’agrégation agricole conformément à la loi 04-12.
•Amélioration des rendements en sucre pour atteindre 11 tonnes/ha pour la betterave et 10 tonnes/ha pour la canne.
•Développement des exportations à 750 000 tonnes.
•Promotion de l’agriculture biologique et des énergies renouvelables, avec 20% des cultures en bio et 2 nouvelles stations d’épuration.
•Maintien des subventions pour les semences, nouvelles plantations, et matériel agricole spécifique.
•Soutien aux projets de reconversion en agriculture biologique et en goutte-à-goutte.